Synopsis :
D’origine japonaise, le kamishibaï signifie littéralement «jeu théâtral en papier» [«kami» : papier ; «shibaï»: théâtre]. Il désigne une série de planches en papier qui racontent une histoire, chaque planche représentant un épisode du récit. Au recto : une illustration, visible du public ; au verso : un texte et la reproduction en miniature de l’image vue par le public. Le narrateur fait défiler les planches d’illustrations au fur et à mesure de la lecture de l’histoire dans un castelet en bois, appelé «butaï».
L’intérêt du kamishibaï est notamment de soutenir l’attention d’enfants très jeunes, et d’insérer entre lui et le conteur un « livre-objet» différent, original.
J’utilise cet outil avec parcimonie, mais bonheur, et la forme théâtralisée du kamishibaï permet aux séances de contes de prendre une forme particulière et souvent nouvelle pour le public.
Un grand nombre d’albums pour enfants existent sous forme reliée et sous forme kamishibaï. Je propose des titres phares que je choisis en fonction d’un thème.
Conditions techniques
Installation 45’ ; petit éclairage et décor éventuel.
Scolaires
Parfaitement adapté à un public des classes maternelles.
Informations pratiques
Le kamishibaï s’utilise comme un castelet, souvent sur une table (cf photos) ; il est de taille moyenne (A3 pour les images de l’album). Pour cette raison, la jauge ne doit idéalement pas dépasser 50 enfants).